Monday 10 June 2013

La vraie vie des étudiants.



Avant de commencer l’université, on a des idées préconçues sur la vie des étudiants. Certains pensent qu’on travaille tout le temps mais d’autres croient que les étudiants sortent chaque soir.  En effet, il ne s’agit pas d’une chose ou d’une autre mais on doit trouver un équilibre entre les différents aspects de la vie universitaire. 


Dans la vie des étudiants, les quatre aspects le plus importants sont les études, les associations, le monde du travail et bien sûr, l’aspect social. Chaque étudiant a sa propre expérience selon ses préférences individuelles. Ceux qui travaillent tous les jours pourraient avoir des bonnes notes mais à la fin de leur parcours ils pourraient regretter de ne pas avoir eu des autres expériences. A l’autre cote, si on ne travaille pas, on pourrait avoir des problèmes à l’avenir en ce qui concerne des emplois. Donc, quand on voit un étudiant qui est en train de travailler il est important de se rappeler que un peu plus tard on pourrait le voir dans une fête et vice-versa. 

Par Malini Parkach.

images négatives

De nos jours il existe une image toute à fait négative répandue  des étudiants britanniques.    On a tendance à croire que les étudiantes de premier cycle sont paresseuses, faisant toujours la grasse matinée.   Quand on pense à l’université on imagine l’hébergement  désordonné et sale avec beaucoup de contenants de restauration rapide et la preuve de la consommation excessive d’alcool dans presque toutes les pièces.  Quand on envisage l’étudiant, on imagine quelqu’un hors de contact avec la vie réelle qui ne travaille guère et qui ne participe pas dans la communauté locale. 


Alors, d’où proviennent ces images? Les étudiants en Grande-Bretagne ont tendance à partir de chez les parents pour habiter dans une résidence universitaire dans le campus. Le campus de Warwick est très gros - il y a tout ce dont on a besoin. À cause de cela, les étudiants sont isolés de la société à l’extérieur de l’université et donc la société ne comprend pas la vie étudiante. Bien que les stéréotypes soient quelquefois vrais, il existe aussi beaucoup d’idées fausses – nous sommes en réalité très actifs !




Contrairement à la croyance populaire, les étudiants Britannique sont ambitieux et indépendants, démontré par la multitude des sociétés qui sont dirigées et fondées par eux-mêmes. Par exemple la société <<TedX>> organise des conférences qui sont renommé pour des conférenciers célèbres qui parlent des sujets disputables comme la politique et l’économie. L’évènement est entièrement organisé et médiatisé par le conseil d’administration des étudiants. Impressionnant, non? Peut-être il faut qu’on reconsidère le grand nombre de réussites des étudiants avant de les juger encore!


Par Rachel W, Amy T et Ellie T.

En Grande-Bretagne, les chefs de commerce disent que les écoles et les collèges sont devenus des <<usines d’examens>> et que les étudiants ont besoin d’une éducation plus générale.
La confédération d’industrie britannique (CBI) pense que les écoles concentrent trop sur les examens à l’âge de 16ans et que cela devrait plutôt être à l’âge de 18ans. Elle croit aussi que les écoles devraient attacher plus d’importances aux compétences nécessaires pour la vie et pour le travail. Bien que les qualifications soient importantes, les entreprises ont besoin des gens qui peuvent servir les clients et qui ont le sens du contact et l’aptitude à communiquer aussi.
Le gouvernement a répondu récemment en forçant tous les jeunes à rester en éducation (d’une façon ou d’une autre) jusqu’à l’âge de 18ans au lieu de 16ans et aussi en 2014 il y aura une nouvelle forme d’examen, « the English baccalaureate » plutôt que les certificats d’études secondaires.  Cependant, ces mesures ne suffisent pas parce que les compétences nécessaires que les entreprises ont demandées ne sont pas parties des propositions du gouvernement.       
Fondamentalement, le gouvernement anglais trouve que son éducation secondaire actuelle ne donne pas à ses élevés toutes les compétences professionnelles dont ils ont besoins. Mais le gouvernement comprend qu’ils doivent parler plus avec les entreprises pour gagner un chemin approprié à résoudre ce problème.













Par Stephanie Williams, Andrew Conboy et Benjamin Snyder.